12 septembre 2015
~Plume
J’écris sur un clavier. J’écris la lettre d’une amante à son cœur dépéri. J’écris la Liberté pour les opprimés. J’écris pour la nuit qui voudrait recroiser le jour, juste une fois, et danser de nouveau avec lui. J’écris à ce musicien qui manipule maladroitement...